Le bilan de l’agression barbare sioniste contre la bande de Ghaza, en cours depuis le 7 octobre 2023, s’est élevé à 41.252 martyrs et 95.497 blessés, en majorité des femmes et des enfants, a indiqué mardi, le ministère palestinien de la Santé.
Au cours de ces dernières 24 heures, au moins 26 Palestiniens sont tombés en martyr et 84 autres ont été blessés dans trois massacres contre des familles, a précisé la même source, citée par l’agence palestinienne de presse, Wafa.
Des milliers d’autres victimes palestiniennes se trouvent encore sous les décombres et sur les routes, et les forces de l’occupation empêchaient les ambulances et les équipes de la Protection civile de leur porter secours.
Un précédent bilan du ministère palestinien de la Santé faisait état de 41.226 martyrs et 95.413 blessés.
Depuis le 7 octobre 2023, l’armée sioniste mène une agression barbare contre Ghaza, entraînant des destructions massives d’infrastructures, en plus d’une catastrophe humanitaire sans précédent.
Plus de 1.150 professionnels de santé tombés en martyrs depuis octobre
Le ministère palestinien de la Santé a annoncé, mardi, que plus de 1.150 professionnels de la santé sont tombés en martyrs à Ghaza depuis le début de la guerre le 7 octobre 2023.
La guerre génocidaire sioniste qui en est à son 11ème mois, a coûté la vie à 1.151 professionnels de la santé au total. Parmi eux, le ministère a confirmé l’identité de 986 victimes, alors que le bilan des martyrs continue d’augmenter dans le contexte de la guerre en cours.
Un rapport détaillé publié par le ministère de la Santé à Ghaza fournit une répartition des 986 martyrs identifiés dans le secteur de la santé. Parmi eux, 706 étaient des hommes et 280 des femmes.
Selon le rapport, parmi les professionnels de santé tués figurent 146 médecins, 31 médecins spécialistes, 50 dentistes, 65 médecins généralistes et 18 ambulanciers.
Les forces militaires sionistes continuent de cibler des habitations civiles, provoquant des massacres répétés dans des zones densément peuplées de Ghaza.
Les bombardements incessants, la destruction des infrastructures et les pertes en vies humaines ont conduit à l’effondrement du système de santé de Ghaza, les professionnels de la santé en première ligne devenant eux-mêmes de plus en plus des victimes.